Importance : |
1 vol. (n.p.) : ill. en noir. |
Résumé : |
Bike Kill est une ode aux excentriques, aux libres penseurs et aux « paumés » de la société. Lorsque Julie Glassberg rencontre les membres du Black Label Bike Club à Brooklyn, New York, elle découvre une culture destructrice et rebelle axée sur un objet peu dangereux : le vélo. Ce gang « hors la loi » créé en 1992 par Jacob Houle et Per Hanson à Minneapolis, dans le Midwest américain, est l’un des principaux contributeurs à la culture des tall bikes et des joutes à vélo. Mélange d’influences punk, grunge et hippie, les Black Label forment une communauté indépendante en rébellion contre le système. Dans une société obsédée par l’argent et la technologie, et qui pousse à consommer, ces jeunes construisent leur vie autour du vélo, de l’art et des rapports humains. Leur devise : Do it Yourself (Faîtes-le vous-même). Au sein de ce groupe qui met un point d’honneur à ne pas suivre les règles imposées par la société, la photographe retrouve des valeurs qu’elle croyait perdues : la vraie amitié, l’amour pour la création artistique et pour la culture. Plus qu’un projet sur un gang de vélo, Bike Kill nous plonge dans la réalité économique, sociale et politique actuelle des États-Unis. (in http://maisonphoto.com/2013/03/julie-glassberg-bike-kill/) |